Ça y est, un virus encore plus grave que la Covid 19 a touché le LPA Martin Luther King ! Son nom : Mask.2022 (« M point trois deux » pour les spécialistes dans les labos). La contamination est exponentielle depuis la première apparition du phénomène sur un post Facebook du LPA le 10 janvier dernier.
Les symptômes sont faciles à reconnaître : Une soudaine fièvre chez une majorité d’élèves dans plusieurs classes – ici les S1 et les N1 -. A noter aussi une agitation des bras, des mains et des doigts qui déchirent invariablement tout le carton et le papier disponible autour d’eux. Ces phénomènes sont suivis d’importants jets et projections de colle à papier peint (à haut taux contaminant).
Par ailleurs les sujets semblent développer une rapide et très forte addiction au scotch à peinture. Ils peuvent d’ailleurs se mettre dans des états indésirables s’ils sont en rupture de ce matériau. Il est donc essentiel de prévoir large de ce côté là et surtout ! surtout ! – par pitié – ne pas chercher à les empêcher.
Le pic de l’infection est attendu dans quelques semaines, avec l’étape suivante la plus critique (mais on l’espère finale) : l’agitation des mains et des doigts avec des brosses et pinceaux dont les pointes auront préalablement été trempées dans des pots de couleur liquide.
Au vu des statistiques tant locales que nationales (ce phénomène viral est amené à se répéter un peu partout dans le pays, mais essentiellement dans les lycées de l’enseignement agricole) la rémission est attendue pour le début du mois de mars.
Si les jeunes passent ce cap, alors ils seront sauvés. Dans ce cas un PACU – un Pass Artistique et Culturel Universel – sera délivré aux heureux candidats. Cette attestation doit être retirée au bureau de la vie scolaire 15 jours après la rémission.
Tenez bon, on va y arriver, et tous ensemble !